Bruno, Moniteur DAuto-École (Épisode 9 : Un Nouveau Samedi, Partie 2)
Dans lhabitacle, sur le petit parking de la forêt, Bruno sapprêtait à baiser ma belle. Virginie caressait de ses mains le torse-nu de son hôte quelle désirait au plus profond delle-même. Lhomme était fougueux, vif, et dominant. Dans le cadre exigu du véhicule, il souleva la fille et la tira vers lui pour quelle se pose à hauteur de son sexe. Nono eut lenvie soudaine de sodomiser ma belle. Il plaça son sexe en érection devant lorifice secret de ma belle.
- « Non ! pas par-là ! » protesta Virginie.
Dans lhabitacle, Virginie faisait face au pare-brise avant du véhicule. Elle était assise, presque couchée sur Nono en lui tournant le dos. Lhomme, excité, désireux, envieux de prendre et de posséder dans ses bras une si belle gonzesse, prit son phallus à pleine main et le positionna devant la rondelle de ma dulcinée. Virginie comprit très vite ce que Nono voulait. Catégoriquement, elle sy opposa avec ardeur. La belle navait en effet, à ce jour, jamais pratiqué de sodomie. Bob lui-même ny avait jamais songé. Le couple pourtant avait vu plusieurs fois des scènes de cul comparables sur le petit écran. Cependant, Ni Bob ni Virginie ne sétaient proposés lun lautre ce petit jeu damour que Bruno comptait bien faire découvrir à Virginie.
- Tu vas découvrir un plaisir nouveau ! affirma Bruno à Virginie.
- Non, je ne suis pas prête ! rétorqua la belle, angoissée. Je ne lai jamais fait !
Aux objections de ma dulcinée, Nono fit la sourde oreille. Son seul désir était de sodomiser Virginie. Dun coup, il la pénétra. Son gland, soudain, disparut tout entier dans lanus de ma belle. Virginie sentait ses chairs sécarteler. Bruno avait un sexe dune belle proportion. Virginie elle-même le trouvait plus gros que celui de Bob.
Le gland introduit, Virginie renonça à se démettre. Elle laissa Bruno accomplir sa besogne. Lhomme senfonça doucement dans la rondelle de ma dulcinée. Ses mains posées sur la taille de Virginie lencourageait à venir sur lui et à senfoncer toujours un peu plus.
- Je te sens en moi, cest étrange ! cela fait une drôle de sensation ! dit Virginie.
La belle fermait les yeux comme pour mieux ressentir la sensation quil la pénétrait de tout son saoul. Bruno progressivement accéléra la cadence. Il tenait ma belle par les bras, puis par la taille, en lui imposant un rythme qui devenait de plus en plus endiablé.
- Cest trop bon ! ajouta Bruno.
- Oui ! cest bon ! confia Virginie en soupirant doucement.
Dans la foulée, Bruno sessouffla. La position pour lui était inconfortable. Virginie acquiesça. Lun et lautre devaient trouver constamment des appuis pour ne pas glisser et se retrouver à lavant de lhabitacle sous la boite à gants. Bruno avait pourtant basculé le dossier arrière du siège avant sur lequel il sétait assis, mais cela ne suffisait pas. Le couple passa alors à larrière du véhicule en se glissant entre les deux sièges avant. Virginie précéda Nono. La belle sagenouilla sur la banquette arrière. Elle gardait autour de sa taille, la robe que Bob lui avait offerte un an plus tôt. Bruno lui avait baissé les bretelles. Virginie avait les seins à lair.
A larrière du véhicule, Nono demanda à Virginie de se pencher pour bien se cambrer. La belle avait le cul en lair et la tête adossée contre la banquette, sur le côté pour ne pas . Nono vint se positionner derrière elle. Lhomme comptait bien terminer ce quil venait de commencer. Linitiation, cétait lui et personne dautre. Il était en effet le premier à investir le cul de ma dulciné. Il savait désormais que rien ni personne ne pourrait lui retirer cela.
Dans lhabitacle, Nono procéda à une véritable leçon descalade. Son corps massif chercha des appuis sur les côtés du véhicule et sur la banquette. Virginie était agenouillée le cul en lair, la robe relevée autour de la taille. Elle attendait, lascive et sensuelle, la venue en elle de son beau mâle entreprenant et dominant.
Quand Bob eut vent de cette histoire où Bruno sodomisa Virginie, son sang ne fit quun tour. Sa belle lui apparut comme une fille soumise, ce quil navait jamais vraiment réalisé auparavant. Virginie, à lévidence, était une femme très douce, sensuelle, intelligente et séduisante. Charmeuse, elle faisait tourner la tête des hommes qui traversaient son regard. Nono, sur ce coup-là, a été plus réactif que Bob. Lun avait fait découvrir la fellation à la belle, lautre la sodomie. Etrangement, Bob se trouvait complémentaire de Bruno. Et, plutôt que de lui en vouloir, il reconnaissait en lui un amant généreux et un maitre pour sa femme.
Virginie, dans lhabitacle, ne savait plus quoi penser et se gardait bien de le faire. Nono la prenait avec vigueur. A larrière du véhicule, sur la banquette, il la força de nouveau, en investissant une seconde fois lorifice que létalon lui-même venait décarteler dans ses chairs quelques deux minutes plus tôt, à lavant du véhicule. Lhomme poussa sa queue le plus profondément possible dans le cul de ma belle jusquà la faire disparaitre complétement. Ses va-et-vient sintensifièrent. Soudain, lhomme sentit quil allait jouir. En se retirant, il déversa sur les fesses et la rondelle de ma femme un sperme chaud et épais que la belle sempressait détaler, avant de se rhabiller.
A suivre
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